SoUTENONS le spectacle vivant
LES JEUNES ARTISTES DIPLÔMÉS
A peine leur diplôme obtenu, les jeunes artistes sont confrontés au chômage alors que la crise sanitaire ferme les salles de spectacles. N’étant plus étudiants, ils ne reçoivent plus de bourse et n’ont pas droit à une indemnité chômage.
A la détresse psychologique, s’ajoutent pour eux les difficultés financières telles que le paiement de leur loyer et de leur nourriture.
Engagé dans la défense du spectacle vivant, le Fonds Globale Philanthropie sollicite votre don pour apporter à des centaines de ces jeunes artistes des soutiens ponctuels allant de 1 000 à 3000 euros.
Merci pour votre soutien.
TÉMOIGNAGES
Judith, comédienne
« Le rideau est tombé avant même que le spectacle ne commence ! Quelle déception ! Je ne me voyais pas déjà en haut de l’affiche, comme Charles, mais je rêvais d’offrir du bonheur.
Je pensais à ces spectateurs qui ont travaillé dur toute la journée et qui viennent oublier leurs soucis dans le rire ou l’émotion. Cela justifiait toutes mes années d’études.
Je ne sais ce qui est le plus triste, si c’est de ne pas être sur scène pour payer mon loyer et manger ou d’être une comédienne privée de comédie ! »
Ils ont entre 22 et 30 ans, viennent de terminer les études et se lançaient avec beaucoup d’ambition et d’espoirs. Ils rêvaient d’apporter leur talent et leur sensibilité à la création artistique française.
Mais, avec la crise sanitaire qui leur brise les ailes, la déception est immense !
Qui a-t-il de pire que d’être jeune artiste sans créer ? Qu’y a-t-il de pire que d’écrire des spectacles qui risquent de finir au fond d’un tiroir, dans l’oubli et la poussière ?
Nous ne pouvons pas offrir une scène à ces jeunes artistes, mais nous pouvons au moins les aider à survivre financièrement, à payer leur loyer et à se nourrir.
Merci pour votre soutien.
TÉMOIGNAGES
Pierre, auteur et scénariste
« Je pense souvent à mes parents qui me disaient que ce n’est pas un métier qui nourrit son homme, que je finirais chômeur. Comme je leur en voulais de détruire mon rêve !
Mais un personnage de série noire est venu leur donner raison, il a l’étrange nom de COVID. Jamais je n’aurais osé le créer, aussi hideux et repoussant, dans un scénario !
Enfin, c’est dur, très dur, non seulement de n’avoir personne pour qui créer, mais aussi d’espérer une aide financière qui risque de ne pas venir… et surtout pas de mes parents ! »
Fabien, auteur de théâtre
« Hier, en allant aux Restos du Cœur, j’imaginais un personnage qui m’aurait fait pitié sur les planches.
C’était un jeune auteur au chômage, un jeune auteur sans emploi, sans public, sans ressources. Il y croyait et avait fait plusieurs années d’études avec d’autres jeunes comme lui, des gens super.
Dans ma pièce un peu surréaliste, tous se retrouvaient à terre, abattus par une sorte de monstre au nom de COVID.
Et je me disais, c’est absurde, l’un de mes professeurs me disait toujours qu’il faut qu’une pièce soit crédible, que sinon le public n’y adhère pas ! »